JEHAN et ZELDA : «Zabilababoué »,pièce de théâtre écrite par ALLAIN LEPREST en 1998
Un jour, Fantine, fille de Sally et Allain, âgée de 18 ans, laisse traîner dans la cuisine son journal intime. Son père espiègle la menace de le lire mais n'en fait rien. Le lendemain, le carnet est toujours là et le surlendemain de même. Il comprend qu'il faut le lire, qu'il est là pour ça.
Zabilababoué est la réponse sincère d'un père à sa fille. "Je ne veux pas être un spécialiste d'Allain Leprest mais je l'utilise avec plaisir. "C'est pour l'amour, pas pour la gloire". Je suis heureux de pouvoir partager ce dernier spectacle avec ma fille et d'offrir ce texte en prose aux amoureux de beaux mots et d'Allain. Pour illustrer cette pièce, entre les 3 actes, nous chanterons quelques chansons paroles et musiques de notre cru.
- Soit vous réservez et payez vos places directement auprès du/des café(s)-théâtre(s),
- Soit vous achetez un PASS à 20€ qui vous donne un accès illimité à la programmation des 15 cafés-théâtres participants. Les détails figurentici .
Vendredi 11 novembre à 21h
BERNARD DEGAVRE, BARRY MC NEESE, PATRICK DE SCHUYTER, ARIANE DE BIEVRE : Bernard Degavre chante Moustaki.
Le spectacle se veut plus qu’un simple concert de reprises de chansons de GEORGES MOUSTAKI. A travers celles-ci, le public et les musiciens vont vivre le parcours de l’artiste depuis sa naissance et son adolescence à Alexandrie, sa montée à Paris, son passage à Bruxelles, à Saint Germain des Prés, la rencontre de Brassens, Piaf, Barbara, mai 68, et l’arrivée du succès avec « Le métèque ». Ensuite, ce sera Moustaki citoyen du monde, de l’Europe au Japon, et toute l’Amérique latine et particulièrement le BrésiL. Et puis ses coups de coeur – Bahia. Ce sera aussi le Moustaki engagé, épris de liberté et défenseur de la démocratie... le Moustaki de la révolution permanente.
Une enfance passée dans un théâtre, parmi les comédiens, les musiciens et les artisans donne à Ivan Tirtiaux le goût de la musique et l’amour du mot. Après s'être frotté à plusieurs instruments, la guitare devient son alter ego. Chanteur à la voix profonde et souple, il s'invente une chanson folk, en français, à la fois ciselée et organique, empreinte de poésie, de blues et de musique latine. Auteur et compositeur exigeant, il allie un dépouillement narratif à des mélodies raffinées et des harmonies savantes. Ses chansons célèbrent le hasard, le cours de la vie et les nombreux déboîtements du destin. On y parle de voyages, de villes, de femmes, de libellules, de désastres, de graines d'arbres, d'océans... Le bonheur d'un spleen belge y retentit lumineux, comme le blues et la saudade d'un Nord traversé par le monde. Sur scène, le chanteur caresse, martèle, percute sa guitare et habite littéralement la scène, soutenu par Mathieu Verkaeren à la contrebasse. Son dernier album L’Envol a remporté l’Octave du meilleur album de chanson en 2015.
Le Festival Bruxellons a pris ses quartiers d'été au château du Karreveld pour la saison 2015. Depuis quelques semaines, nous avions déjà aperçu les premières affiches annonçant "La mélodie du bonheur", comédie musicale bien connue et nouvelle création Bruxellons.
Au programme cette année, vous trouverez également "Conversations avec ma mère" de Santiago Carlos Ovès et Jordi Galceran, "Le capitaine Fracasse" de Théophile Gautier, "L'invité" de David Pharao, "Joséphina" de et avec Sicaire Durieux et Sandrine Heyraud, "Coming out" de Tom Lanoye, "Si c'était à refaire" de Laurent Ruquier, "Cincali" de Nicola Bonazzi et Mario Perrotta, "La Turnàta" de Nicola Bonazzi et Mario Perrotta, "Amours et grivoiseries" de et par Geneviève Voisin, "La grammaire" de Labiche, "L'initiatrice" de Pietro Pizzuti, 1 Karreveld, 3/4 fou de et par Bruno Coppens, "Magie Caustique" de et par Jack Cooper, "Va t'en savoir" de Zidani et Patrick Chaboud.
Le festival Bruxellons fête ses 15 ans. Il propose depuis le 11 juillet, fête de la Communauté flamande jusqu'au 27 septembre fête de la Communauté française 36 spectacles dans le très beau château du Karreveld à Molenbeek.